25 Mart 2014 Salı

Différencier l'imparfait et le passé composé

Exercice  1





Ecrivez les verbes entre parenthèses à l'imparfait ou au passé composé.
Tout à coup, il (se produire) s'est produit un grand mouvement dans la foule. Chaque soir (éclater)
…................ un orage qui (durer)................... une heure. Vers minuit, comme il (sortir)............
de la maison, un coup de vent (souffler)................ a soufflé sa lanterne qui (s'éteindre).....................

.
A chaque gare, l'omnibus (s'arrêter)........................ , (manoeuvrer)..........................., (attendre).............. . on ne sait quoi, puis (repartir)

.
Ce jour-là, ils (partir)...................à l'aube et (marcher)............................. longtemps avant d'atteindre la ville qui (se trouver)............................au-delà de la rivière.

UN ORAGE.
(Au cours d'un voyage sur les bords du Rhin, Victor Hugo a eu l'occasion d'assister, depuis la voiture où il avait pris place, à "un des plus beaux orages" qu'il ait jamais vus.)

Le soir (approcher) ….............., le soleil (décliner)..................., le ciel (être)..........magnifique. Je
(regarder)...................les collines du bout de la plaine, qu'une immense bruyère violette (recouvrir)
….................à moitié... Tout à coup j' (voir)........un cantonnier redresser sa claie (1) couchée à terre et la disposer comme pour s'abriter dessous. Puis la voiture (passer)...........près d'un troupeau d'oies
qui (bavarder)......................joyeusement. "Nous allons avoir de l'eau, (dire)........... le cocher." En effet,j' (tourner).................la tête : la moitié du ciel derrière nous (être)..............envahie par un gros nuage noir,le vent (être)..............violent, les ciguës enfleur (se courber)..................jusqu'à terre, les arbres(sembler)...................se parler avec terreur, de petits chardons desséchés (courir)................
sur la route plus vite que la voiture, au-dessus de nous (voler)................de grandes nuées. Un moment après(éclater).................un des plus beaux orages que j'aie vus
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Ce texte vous est donné au présent. Transposez-le au passé en mettant les verbes au passé composé ou à l'imparfait selon le cas.

C'est une splendide soirée de juillet et l'air est embaumé de l'odeur des forêts de pins. De temps à autre, ils entendent un ramier ou aperçoivent le poitrail bruni d'un faisan. De petits écureuils leur lancent des regards curieux du haut des hêtres tandis qu'ils passent, et les lapins détalent à toute allure à travers les fourrés...
Lorsqu'ils pénètrent dans l'avenue de Canterville Chase, toutefois, le ciel se couvre de nuages, un calme bizarre paraît s'emparer de l'atmosphère, un grand vol de corneilles passe silencieusement au-dessus de leurs têtes et quelques grosses gouttes de pluie tombent.
Debout sur le perron, pour les recevoir, se tient une vieille femme, proprement habillée de soie noire. C'est Mrs. Umney, la gouvernante. Elle leur fait à tous une profonde révérence à mesure qu'ils descendent de voiture et dit, d'une gentille voix à l'ancienne mode : "Soyez les bienvenus à Canterville Chase, je vous prie."
D'après Oscar Wilde, Le fantôme de Canterville, Poche-Jeunesse éd.

C' une splendide soirée de juillet et l'air embaumé de l'odeur des forêts de pins. De temps à autre, ils un ramier ou le poitrail bruni d'un faisan. De petits écureuils leur des regards curieux du haut des hêtres tandis qu'ils , et les lapins à toute allure à travers les fourrés...
Lorsqu'ils dans l'avenue de Canterville Chase, toutefois, le ciel de nuages, un calme bizarre s'emparer de l'atmosphère, un grand vol de corneilles silencieusement au-dessus de leurs têtes et quelques grosses gouttes de pluie .
Debout sur le perron, pour les recevoir, se une vieille femme, proprement habillée de soie noire. C' Mrs. Umney, la gouvernante. Elle leur à tous une profonde révérence à mesure qu'ils de voiture et leur , d'une gentille voix à l'ancienne mode : "Soyez les bienvenus à Canterville Chase, je vous prie."

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Ce texte vous est donné au présent. Transposez-le au passé en mettant les verbes au passé (passé composé, imparfait, plus-que-parfait, conditionnel présent)

Ce jour-là, Marie fait une promenade dans la campagne. Elle marche déjà depuis une heure, quand elle voit de gros nuages qui s'approchent. Elle comprend qu'il va bientôt y avoir un orage, alors elle décide de rentrer le plus vite possible.
Elle n'est qu'à deux cents mètres de chez elle lorsque l'orage éclate. Alors elle se met à courir pour ne pas se faire mouiller. Malgré tous ses efforts, elle est trempée en rentrant.
En plus, elle se rappelle qu'elle n'a pas fermé les fenêtres du premier étage. Elle monte les escaliers quatre à quatre, mais en arrivant dans les chambres, elle découvre que l'eau y entre déjà. Après avoir fermé, elle va chercher de quoi essuyer les parquets. Ensuite, elle se change et se fait une bonne tasse de thé en pensant que, la prochaine fois, elle fera attention avant de sortir.

Ce jour-là, Marie faisait une promenade dans la campagne. Elle déjà depuis une heure, quand elle de gros nuages qui . Elle qu'il bientôt y avoir un orage, alors elle de rentrer le plus vite possible.
Elle n' qu'à deux cents mètres de chez elle lorsque l'orage . Alors elle à courir pour ne pas se faire mouiller. Malgré tous ses efforts, elle trempée en rentrant.
En plus, elle qu'elle les fenêtres du premier étage. Elle les escaliers quatre à quatre, mais en arrivant dans les chambres, elle que l'eau y déjà. Après avoir fermé, elle chercher de quoi essuyer les parquets. Ensuite, elle et une bonne tasse de thé en pensant que, la prochaine fois, elle attention avant de sortir.

......

Ce texte vous est donné au présent. Transposez-le au passé en mettant les verbes au passé (passé composé, imparfait).

Le facteur arrive devant la maison de la famille Schmit. Il sort les lettres de son sac, mais il voit qu’un énorme chien arrive en aboyant très fort. Il n’y a ni mur ni clôture autour de cette maison. L’animal est visiblement très fort. Le facteur peut voir ses crocs impressionnants. Soudain, un coup de sifflet retentit : alors, le chien, qui n’est plus qu’à cinq mètres du facteur, s’arrête, fait demi-tour et rentre à l’intérieur la maison. Le facteur, qui ne comprend plus rien, pousse un soupir de soulagement. Il repart en espérant ne plus jamais passer par là.

Le facteur devant la maison de la famille Schmit. Il les lettres de son sac, mais il qu’un énorme chien en aboyant très fort. Il n’y ni mur ni clôture autour de cette maison. L’animal visiblement très fort. Le facteur voir ses crocs impressionnants. Soudain, un coup de sifflet : alors, le chien, qui n’ plus qu’à cinq mètres du facteur, , demi-tour et à l’intérieur de la maison. Le facteur, qui ne plus rien, un soupir de soulagement. Il en espérant ne plus jamais passer par là. 

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